Un nomade de la raison
sur les chemins d’Élis à Taxila
11ème partie
11ème partie
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L'indifférence de Pyrrhon
Deuxième
point abordé dans le texte d’Aristoclès de Messène, la
question de l’attitude à adopter face aux choses et aux
événements. Après la question théorique portant sur la nature des
choses, la question plus pratique : « dans
quelle disposition devons-nous avoir à l’égard des choses ? »
Aristoclès explique alors : « Par
suite, il ne faut pas accorder (aux choses) la moindre confiance,
mais être sans jugement, sans inclination d’aucun côté,
inébranlable, en disant de chaque chose qu’elle n’est pas plus
qu’elle n’est pas, ou qu’elle est et n’est pas, ou qu’elle
n’est ni n’est pas ».
Le premier point évoquait la manière sceptique de considérer les
choses ; dans ce deuxième point, tout tourne autour de la
manière d’éprouver les choses. Le terme important dans le premier
était « épochè », suspension ou abstention du
jugement. Le terme marquant dans le deuxième sera plutôt
« adiaphoria », l’indifférence pyrrhonienne. Cette
indifférence est vraiment intimement associée à la personne de
Pyrrhon : certains textes de Cicéron omettent de mentionner la
suspension du jugement à propos de Pyrrhon alors qu’ils octroient
ce terme à Arcésilas ou Carnéade ; d’autre part, Cicéron
associe toujours Pyrrhon à l’indifférence1.
Par ailleurs, Cicéron le considère comme un quasi-stoïcien assez
sévère qu’il range aux côtés d’Ariston de Chios, stoïcien
rigoureux qui fut connu pour être « celui
qui introduisit la doctrine de l’indifférence2 ».
Mais ce rapprochement a quelque chose d’artificiel :
effectivement, stoïciens et pyrrhoniens parlent de l’indifférence,
mais chez les stoïciens, c’est l’indifférence à tout ce qui
n’est pas la vertu et le vice. Tomber malade, être pauvre, être
maltraité, tout cela est indifférent, cela n’est pas un mal, car
le seul mal que je puisse endurer, c’est le mal que je commets. Et
cela n’est pas du tout indifférent aux yeux des stoïciens :
je dois toujours orienter mes actes vers le Bien. Je ne trouve le
bonheur que dans l’accomplissement de mon devoir, et pas dans telle
ou telle situation favorable et plaisante. A toutes ces situations
contingentes, agréables ou désagréables, je dois me rendre
indifférent. Cette indifférence sert à se focaliser sur la
différence morale entre actes bons et actes mauvais.
L’indifférence
de Pyrrhon naît de ce que l’on est « sans
jugement, sans inclination d’aucun côté ».
Cette indifférence ne naît pas d’un effort tendu en vue
d’accomplir son devoir comme chez les stoïciens ; elle naît
de cet abandon de la tendance à tout cataloguer, tout mesurer, tout
comparer. Cette indifférence naît d’un relâchement, d’une
détente, d’un lâcher-prise ; et c’est pourquoi elle a
semblé beaucoup plus ferme et durable, ce qui a donné à Pyrrhon
une image d’austérité et de rigueur, incluant dans son
indifférence les richesses et la santé, ce que tous les stoïciens
ne faisaient pas nécessairement ! Cela est autant plus
paradoxal que l’indifférence pyrrhonienne touche non seulement ce
qu’on subit (ce qui ne dépend pas de nous), mais aussi ce qu’on
fait (ce qui dépend de nous). Le « ou mallon » frappe
également la morale : une action n’est pas plus bonne que
mauvaise, pas plus juste qu’injuste, pas plus belle que vilaine.
Mais la force de Pyrrhon, c’était justement de ne rien s’imposer.
Il se contente de renoncer au jugement sur ce qu’il vit. « La
fin, les sceptiques disent que c’est la suspension du jugement que
suit comme son ombre l’imperturbabilité3 ».
Il n’incline pas plus vers la vertu irréprochable que vers la
débauche généralisée. Et aussi étonnant que cela puisse
paraître, cela a fait de Pyrrhon quelqu’un dont la constance et la
douceur inébranlable ont marqué les esprits et qui fut célèbre
pour sa vertu et son sens de la morale. « Il
n’y a pas à s’y tromper, il faut reconnaître là l’influence
de l’Orient. L’esprit grec n’était pas fait pour de telles
audaces : elles ne furent pas renouvelées après Pyrrhon. (…)
Il y a en les stoïciens je ne sais quoi d’apprêté et de tendu :
ils se raidissent avec un merveilleux courage, mais on sent l’effort.
Chez Pyrrhon, le renoncement semble devenir aisé, presque naturel :
il ne fait aucun effort pour se singulariser. (…) Il ne se donne
pas pour un sage supérieur aux autres hommes et ne croit pas
l’être ; il n’a même pas l’orgueil de sa vertu4 ».
Les
anecdotes où Pyrrhon fait preuve de cette indifférence ne manquent
pas du tout. Diogène Laërce décrit en ces termes le style de vie
du philosophe d’Elis : « Il
vivait en tout bien tout honneur avec sa sœur, qui était sage-femme
(…) ; c’est en ce temps qu’il portait lui-même au marché,
pour les y vendre, des volailles, si cela se trouvait, et des petits
cochons, et faisait ménage à la maison, en toute indifférence. On
dit aussi qu’il lava lui-même un porcelet, par indifférence5 ».
Le mode de vie de Pyrrhon se déroulait donc dans la simplicité ;
Pyrrhon ne cherchait pas à avoir un mode de vie extraordinaire, que
ce soit la vie intellectuelle d’Athènes ou encore la vie
hors-norme des gymnosophistes ou des cyniques. Il ne cherchait pas
particulièrement à briller, ni à transgresser à tout prix les
conventions et les artifices de la société de son temps. En même
temps, les règles de prestige ou de bienséance lui étaient
parfaitement égales !
Laver un petit cochon n’avait rien en
soi de déshonorant ou de dégradant : on est très loin d’une
mentalité aristocratique pour qui certaines tâches sont considérées
comme ingrates, et donc déléguées à des subalternes ou des
esclaves. Pierre Hadot rapproche à juste titre ce témoignage de
Diogène Laërce de celui qui porte sur Tchouang-Tseu, un des
fondateurs du taoïsme en Chine, qui vécut plus ou moins à la même
époque que Pyrrhon : « Trois
années durant, il s’enferma, faisant des besognes ménagères pour
sa femme et servant la nourriture aux cochons, comme il l’aurait
servie à des hommes ; il se fit indifférent à tout et il
élimina tout ornement pour retrouver la simplicité6 ».
On
voit aussi Pyrrhon endurer une opération chirurgicale sans broncher
les sourcils, se rendant complètement indifférent à la douleur
physique ressentie7.
Un jour que Pyrrhon et Anaxarque d’Abdère discouraient en se
promenant à proximité de marécages, Anaxarque vint à tomber
dedans. Pyrrhon continua son chemin, imperturbable, complètement
indifférent à ce qui venait de se passer. Anaxarque parvint à
s’extirper de ce bourbier, ou bien on l’en repêcha. Cela
provoqua des cris de consternations et d’indignations à l’encontre
de Pyrrhon qui ne s’en souciait pas. Pourtant, Anaxarque courut
vers Pyrrhon et le félicita pour sa formidable et merveilleuse
indifférence8 !
Le stoïcien Posidonios raconte une histoire sur un bateau pris dans
la tempête aussi avec un petit cochon : « Alors
que les hommes d’équipage faisaient grise mine à cause d’une
tempête, lui-même, gardant toute sa sérénité, leur remonta le
moral en leur montrant sur le bateau un petit cochon qui mangeait, et
en leur disant que le sage devait se maintenir dans un état
semblable d’imperturbabilité9 ».
Soit dit en passant, ce passage illustre le premier trope
d’Aenésidème qui refuse de faire une distinction absolue entre
les sens et la raison de l’homme et les sens et la raison des
animaux. Les faucons ont ainsi une vue plus perçante que l’homme ;
les chiens ont un odorat plus affiné ; les chouettes et les
félins ont une lueur particulière dans l’œil qui leur permet de
voir la nuit. Non seulement ces animaux ne sont pas déficients par
rapport à l’homme au niveau des connaissances sensibles, mais en
plus le monde doit leur apparaître de façon très différente par
rapport à nous, les hommes. Par ailleurs, un chien s’avère
capable de raisonnement quand trois chemins s’offre à lui, dont un
conduit à son maître ; s’il a pris deux chemins qui ne
mènent à rien, alors il emprunte le troisième10.
Timon
de Phlionte, pourtant beaucoup moins tempérant que son maître,
faisait également preuve d’un grand sens de l’indifférence :
« Quand
il était dérangé par le vacarme des servantes et des chiens, il ne
faisait rien, n’ayant d’autre souci que de vivre
tranquillement11 ».
Il était poète et satiriste, on lui doit des textes mordants où il
se moque des philosophes de toutes les écoles ; pourtant, ses
écrits ne le préoccupaient pas trop : « Ses
poèmes gisaient au hasard, parfois à moitié mangés par les vers :
au point que voulant lire quelque chose à Zopyre le rhéteur, il se
mit à dérouler le volume, le parcourant à la suite ; ce n’est
que parvenu à la moitié qu’il tomba sur le morceau qu’il
n’avait pas retrouvés jusqu’alors. Telle était son
indifférence12 ».
Après de longs siècles, des intempéries, des incendies, des
pillages, on a perdu un grand nombre d’œuvres de l’Antiquité.
Timon, déjà de son vivant, a peut-être perdu nombre de ses
œuvres ! Mais cela le laissait indifférent. Timon n’avait
rien d’un ascète ; au contraire, il aimait boire et bien
vivre, pourtant il supportait sans peine de se priver de nourriture :
« Mais
il était également facile à vivre au point d’accepter de se
passer de déjeuner13 ».
L’indifférence
guide donc la vie de Pyrrhon. Il se contentait de suivre les
conventions sociales, les us et les coutumes sans pourtant y croire.
« Seul,
Pyrrhon n’attend rien, n’espère rien, ne croit à rien ;
pourtant il vit comme ceux qui croient et espèrent14 ».
Comme les sceptiques n’avaient aucune certitude sur le bien ou sur
le mal, pas plus que sur autre chose, ceux-ci recommandaient de
suivre les usages, les normes sociales et cultures de la société
dans laquelle on vit.
Ce n’est pas un critère absolu ; mais à
défaut d’autre chose, cela donne une idée de ce qui doit être
fait. Là encore, on constate un dissentiment entre le
Pyrrhon-de-Conche et Sextus Empiricus. Si l’on adhère au
phénoménisme sceptique de Sextus, la société apparaît comme un
phénomène bien réel auquel il faut se plier. Puisque aucune
conception d’une voie droite ne peut être établie, il faut suivre
le « droit chemin » que prône la société : il
faut se conformer en tout point aux mœurs de l’époque. Chez
Sextus, on assiste à une sorte de conformisme assez triste.
Par
contre : « Pyrrhon
disait, en effet, que rien n’est beau ni laid, juste ni injuste ;
et, pareillement, au sujet de toutes choses, que rien n’est en
vérité, mais que c’est par coutume et par habitude que les hommes
font tout ce qu’ils font ; en effet, selon lui, chaque chose
n’est pas davantage ceci que cela15 »
Pour Pyrrhon qui vit dans les apparences, les hommes agissent par
coutume et par habitude. Et ces coutumes et ces habitudes sont des
apparences, on peut les suivre par curiosité : voir où elles
mènent. Si elles mènent quelque part, tant mieux ! Si elles ne
mènent nulle part, tant mieux ! Et le fait que ces coutumes et
ces mœurs soient des apparences les délestent d’un poids social
trop grand ; on peut jouer avec ces apparences. On peut agir sur
elles comme elles agissent sur nous. On voit ainsi Pyrrhon partir sur
un coup de tête au gré des chemins sans soucier le moins du monde
d’une destination ou d’une affaire à régler. Il flâne ici où
là sur les chemins de la Grèce au hasard des rencontres16.
En fait, Pyrrhon fait preuve de beaucoup de douceur pour accepter les
gens tels qu’ils sont et vivre avec leurs croyances, leurs rites et
leurs mœurs. Mais en même temps, il fait aussi preuve de beaucoup
de douceur pour se monter indifférent à un conformisme figé qui
n’apporte que de la morosité et de la crispation dans la société.
On
pourrait se poser la question : s’il ne s’agit de ne plus se
poser de questions et de faire ce que tout le monde fait sans
s’interroger, est-ce que cela valait la peine de faire de la
philosophie ?
Après tout, Aristote a produit une œuvre colossale par son
intelligence et sa perspicacité, une œuvre qui a marqué pendant
deux millénaires autant la pensée arabe que la pensée européenne,
sans même parler de son impact durant toute l’Antiquité. Diogène
le Chien envoyait en l’air toutes les conventions sociales, ne
reculait devant aucune provocation aux citoyens d’Athènes,
n’épargnant personne et ne reculant devant rien.
Pendant ce temps,
Pyrrhon lavait les petits cochons ! Est-ce que cela valait la
peine de s’adonner à cette grandiose activité qu’est la
philosophie pour en arriver finalement à laver des petits cochons ?
Oui, aurait répondu Pyrrhon, parce que je les ai lavés avec
indifférence, avec ironie et avec sagesse si tant est que ce mot ait
un sens. Quelle bonne raison a-t-on de philosopher ? Aucune !
Mais Pyrrhon s’est un jour mis à philosopher. Quelle bonne raison
a-t-on de partir jusqu’au bout du monde avec un jeune roi
impétueux ? Aucune ! Mais Pyrrhon est parti en Inde avec
Alexandre et Anaxarque. Quelle bonne raison a-t-on de pratiquer la
vertu et de rechercher la sagesse ? Aucune ! Mais Pyrrhon
s’est adonné à la vertu comme il s’est mis en quête de la
sagesse. Selon Pyrrhon, le fond de l’action est l’arbitraire pur.
Il n’y a pas de raison pour faire ceci plutôt que cela (ou
mallon
appliqué à l’action). « Le
pyrrhonisme est la « négation de la morale », car une
conduite humaine n’est jamais susceptible d’être rendue inégale
à une autre par un quelconque processus de justification, de
validation, etc.18 »
Si l’action relève de la sphère de l’apparence, il n’y a plus
lieu de chercher des motifs pour ses actions. L’action se fait,
c’est tout.
L’attitude
habituelle veut qu’on ait besoin de bonnes raisons pour délibérer
et agir. Ainsi Aristote se gausse-t-il de celui qui abolirait les
préférences éthiques en prétendant que tout est égal :
« Pourquoi
notre philosophe fait-il route vers Mégare, et ne reste-t-il pas
chez lui en se contentant de penser qu’il y va ? Pourquoi si,
au point du jour, il rencontre un puits ou un précipice, n’y
marche-t-il pas, mais pourquoi le voyons-nous, au contraire, se tenir
sur ses gardes, comme s’il pensait qu’il n’est pas également
bon et mauvais d’y tomber ? Il est bien clair qu’il estime
que tel parti est meilleur, et tel autre, pire. (…) Il ne recherche
pas et ne juge pas tout sur un pied d’égalité, quand, pensant
qu’il est préférable de boire de l’eau ou de voir un homme, il
se met ensuite en quête de ces objets19 ».
Il serait tentant de mettre cette réflexion d’Aristote avec le
témoignage de Diogène Laërce qui nous dit que Pyrrhon « n’évitait
rien, ne prenait garde à rien, supportait tout, chariots,
précipices, chiens, ne se fiant en rien à ses sens20 »,
comme si Pyrrhon avait voulu répondre à Aristote par des actes
plutôt que par des discours. Selon Aristote, on agit parce qu’on
estime tel ou tel choix comme étant le meilleur. Mais pour Pyrrhon,
tous les choix sont indifférents et indécidables ; pourtant,
l’homme agit sans qu’il puisse entièrement rendre raison de ce
qu’il fait. L’action a lieu avant même que l’estimation soit
achevée. « S’il
devait, pour boire, montrer qu’il est « préférable »
de boire, il ne boirait jamais. La conduite humaine n’est pas
intégralement rationalisable21 ».
Il n’y a pas à fonder l’action pour l’action ait lieu.
L’action se produit en tant qu’apparence influant sur d’autres
apparences.
Quiconque pratique le yoga ou la méditation sait que la
difficulté n’est pas de trouver l’action à accomplir, parce
qu’assis immobile en méditation, on est constamment traversé par
la tentation d’agir : se mouvoir, se lever, se dégourdir les
jambes, faire autre chose…. La difficulté est de ne pas agir, de
rester conscient de cette non-action et rester droit dans la posture
de méditation. Selon Marcel Conche, l’indifférence pyrrhonienne
« libère
en l’homme la spontanéité agissante, la capacité d’action
pure22 ».
Ce serait plutôt la recherche philosophique d’un fondement à
l’action ou d’une justification qui conduirait à l’inertie et
à l’inaction. Pyrrhon lavait les petits cochons. Ce n’est pas
grand-chose, dira-t-on. Cela n’a révolutionné ni la pensée, ni
la société. Mais qu’on réfléchisse à quel point cette
in-différence, cette non-différence est subversive dans sa douceur
même. En lavant les petits cochons, Pyrrhon abolit les différences
entre classe sociale, entre le riche et le serviteur, entre l’homme
libre et l’esclave. Cet acte n’est pas davantage digne
qu’indigne. Ou
mallon.
1
Victor
Brochard, « Les
sceptiques grecs »,
op. cit., livre I, chap. II, p. 74. Par ailleurs, Cicéron présente
Pyrrhon comme un dogmatique emprunt de morale, d’honnêteté et de
vertu. Numenius disait aussi de Pyrrhon qu’il était un dogmatique
(DL, op.
cit.,
IX, 68). Même en cela, il faut être prêt à suspendre son
jugement ! Le fondateur du scepticisme a-t-il été un
dogmatique ?
2
D.L., ibid.,
VII, 37.
3
D.L., ibid.,
IX, 107.
4
Victor
Brochard, « Les
sceptiques grecs »,
op. cit., livre I, chap. III, pp. 87-88.
5
D. L., ibid.,
IX, 66.
6
Pierre HADOT,
« Qu’est-ce que la philosophie antique ? »,
Gallimard, Paris, 1995, chap. VII, p. 175.
7
D.L., op.
cit.,
IX, 67.
8
D.L., op.
cit. IX, 63.
9
D.L., ibid.,
IX, 68.
10
D.L., ibid.,
IX, 79-80. Jean-Paul Dumont, « Les
sceptiques grecs »,
Puf, Paris, 1966, pp. 51-60.
11
D.L., ibid.,
IX, 113.
12
D.L., ibid.,
IX, 113-114.
13
D.L., idem.
14
Victor Brochard, op.
cit.,
livre I, chap. III, p. 86.
15
Diogène
Laërce, op.
cit..,
IX, 61.
16
D.L., ibid.,
IX, 63.
18
Marcel
Conche, op.
cit.,
chap. VII, p. 93.
19
Aristote,
« Métaphysique »,
Γ, 4, 1008 b 14-25, cité dans Marcel Conche, op.
cit.,
chap. VI, p. 76.
20
D.L., op.
cit., IX, 62.
21
Marcel
Conche, op.
cit.,
chap. VIII, p. 94.
22
Marcel
Conche, ibid.,
chap. X.2, p. 142.
Hengki Koentjoro |
Concernant Pyrrhon, voir également :
Voir également :
- Équanimité
- Certains me sont chers
- Jouir d'une vie simple
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