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jeudi 1 novembre 2018

Un nomade de la raison - 11ème partie






Un nomade de la raison 
sur les chemins d’Élis à Taxila

11ème partie


Pour lire les précédentes parties d'un Nomade la Raison, voir le sommaire.



L'indifférence de Pyrrhon




   Deuxième point abordé dans le texte d’Aristoclès de Messène, la question de l’attitude à adopter face aux choses et aux événements. Après la question théorique portant sur la nature des choses, la question plus pratique : « dans quelle disposition devons-nous avoir à l’égard des choses ? » Aristoclès explique alors : « Par suite, il ne faut pas accorder (aux choses) la moindre confiance, mais être sans jugement, sans inclination d’aucun côté, inébranlable, en disant de chaque chose qu’elle n’est pas plus qu’elle n’est pas, ou qu’elle est et n’est pas, ou qu’elle n’est ni n’est pas ». 


   Le premier point évoquait la manière sceptique de considérer les choses ; dans ce deuxième point, tout tourne autour de la manière d’éprouver les choses. Le terme important dans le premier était « épochè », suspension ou abstention du jugement. Le terme marquant dans le deuxième sera plutôt « adiaphoria », l’indifférence pyrrhonienne. Cette indifférence est vraiment intimement associée à la personne de Pyrrhon : certains textes de Cicéron omettent de mentionner la suspension du jugement à propos de Pyrrhon alors qu’ils octroient ce terme à Arcésilas ou Carnéade ; d’autre part, Cicéron associe toujours Pyrrhon à l’indifférence1. Par ailleurs, Cicéron le considère comme un quasi-stoïcien assez sévère qu’il range aux côtés d’Ariston de Chios, stoïcien rigoureux qui fut connu pour être « celui qui introduisit la doctrine de l’indifférence2 ». 


     Mais ce rapprochement a quelque chose d’artificiel : effectivement, stoïciens et pyrrhoniens parlent de l’indifférence, mais chez les stoïciens, c’est l’indifférence à tout ce qui n’est pas la vertu et le vice. Tomber malade, être pauvre, être maltraité, tout cela est indifférent, cela n’est pas un mal, car le seul mal que je puisse endurer, c’est le mal que je commets. Et cela n’est pas du tout indifférent aux yeux des stoïciens : je dois toujours orienter mes actes vers le Bien. Je ne trouve le bonheur que dans l’accomplissement de mon devoir, et pas dans telle ou telle situation favorable et plaisante. A toutes ces situations contingentes, agréables ou désagréables, je dois me rendre indifférent. Cette indifférence sert à se focaliser sur la différence morale entre actes bons et actes mauvais.


         L’indifférence de Pyrrhon naît de ce que l’on est « sans jugement, sans inclination d’aucun côté ». Cette indifférence ne naît pas d’un effort tendu en vue d’accomplir son devoir comme chez les stoïciens ; elle naît de cet abandon de la tendance à tout cataloguer, tout mesurer, tout comparer. Cette indifférence naît d’un relâchement, d’une détente, d’un lâcher-prise ; et c’est pourquoi elle a semblé beaucoup plus ferme et durable, ce qui a donné à Pyrrhon une image d’austérité et de rigueur, incluant dans son indifférence les richesses et la santé, ce que tous les stoïciens ne faisaient pas nécessairement ! Cela est autant plus paradoxal que l’indifférence pyrrhonienne touche non seulement ce qu’on subit (ce qui ne dépend pas de nous), mais aussi ce qu’on fait (ce qui dépend de nous). Le « ou mallon » frappe également la morale : une action n’est pas plus bonne que mauvaise, pas plus juste qu’injuste, pas plus belle que vilaine. Mais la force de Pyrrhon, c’était justement de ne rien s’imposer. Il se contente de renoncer au jugement sur ce qu’il vit. « La fin, les sceptiques disent que c’est la suspension du jugement que suit comme son ombre l’imperturbabilité3 ». 


         Il n’incline pas plus vers la vertu irréprochable que vers la débauche généralisée. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, cela a fait de Pyrrhon quelqu’un dont la constance et la douceur inébranlable ont marqué les esprits et qui fut célèbre pour sa vertu et son sens de la morale. « Il n’y a pas à s’y tromper, il faut reconnaître là l’influence de l’Orient. L’esprit grec n’était pas fait pour de telles audaces : elles ne furent pas renouvelées après Pyrrhon. (…) Il y a en les stoïciens je ne sais quoi d’apprêté et de tendu : ils se raidissent avec un merveilleux courage, mais on sent l’effort. Chez Pyrrhon, le renoncement semble devenir aisé, presque naturel : il ne fait aucun effort pour se singulariser. (…) Il ne se donne pas pour un sage supérieur aux autres hommes et ne croit pas l’être ; il n’a même pas l’orgueil de sa vertu4 ».


      Les anecdotes où Pyrrhon fait preuve de cette indifférence ne manquent pas du tout. Diogène Laërce décrit en ces termes le style de vie du philosophe d’Elis : « Il vivait en tout bien tout honneur avec sa sœur, qui était sage-femme (…) ; c’est en ce temps qu’il portait lui-même au marché, pour les y vendre, des volailles, si cela se trouvait, et des petits cochons, et faisait ménage à la maison, en toute indifférence. On dit aussi qu’il lava lui-même un porcelet, par indifférence5 ». 


        Le mode de vie de Pyrrhon se déroulait donc dans la simplicité ; Pyrrhon ne cherchait pas à avoir un mode de vie extraordinaire, que ce soit la vie intellectuelle d’Athènes ou encore la vie hors-norme des gymnosophistes ou des cyniques. Il ne cherchait pas particulièrement à briller, ni à transgresser à tout prix les conventions et les artifices de la société de son temps. En même temps, les règles de prestige ou de bienséance lui étaient parfaitement égales ! 


          Laver un petit cochon n’avait rien en soi de déshonorant ou de dégradant : on est très loin d’une mentalité aristocratique pour qui certaines tâches sont considérées comme ingrates, et donc déléguées à des subalternes ou des esclaves. Pierre Hadot rapproche à juste titre ce témoignage de Diogène Laërce de celui qui porte sur Tchouang-Tseu, un des fondateurs du taoïsme en Chine, qui vécut plus ou moins à la même époque que Pyrrhon : « Trois années durant, il s’enferma, faisant des besognes ménagères pour sa femme et servant la nourriture aux cochons, comme il l’aurait servie à des hommes ; il se fit indifférent à tout et il élimina tout ornement pour retrouver la simplicité6 ».


        On voit aussi Pyrrhon endurer une opération chirurgicale sans broncher les sourcils, se rendant complètement indifférent à la douleur physique ressentie7. Un jour que Pyrrhon et Anaxarque d’Abdère discouraient en se promenant à proximité de marécages, Anaxarque vint à tomber dedans. Pyrrhon continua son chemin, imperturbable, complètement indifférent à ce qui venait de se passer. Anaxarque parvint à s’extirper de ce bourbier, ou bien on l’en repêcha. Cela provoqua des cris de consternations et d’indignations à l’encontre de Pyrrhon qui ne s’en souciait pas. Pourtant, Anaxarque courut vers Pyrrhon et le félicita pour sa formidable et merveilleuse indifférence8 ! 


       Le stoïcien Posidonios raconte une histoire sur un bateau pris dans la tempête aussi avec un petit cochon : « Alors que les hommes d’équipage faisaient grise mine à cause d’une tempête, lui-même, gardant toute sa sérénité, leur remonta le moral en leur montrant sur le bateau un petit cochon qui mangeait, et en leur disant que le sage devait se maintenir dans un état semblable d’imperturbabilité9 ». 


        Soit dit en passant, ce passage illustre le premier trope d’Aenésidème qui refuse de faire une distinction absolue entre les sens et la raison de l’homme et les sens et la raison des animaux. Les faucons ont ainsi une vue plus perçante que l’homme ; les chiens ont un odorat plus affiné ; les chouettes et les félins ont une lueur particulière dans l’œil qui leur permet de voir la nuit. Non seulement ces animaux ne sont pas déficients par rapport à l’homme au niveau des connaissances sensibles, mais en plus le monde doit leur apparaître de façon très différente par rapport à nous, les hommes. Par ailleurs, un chien s’avère capable de raisonnement quand trois chemins s’offre à lui, dont un conduit à son maître ; s’il a pris deux chemins qui ne mènent à rien, alors il emprunte le troisième10.


        Timon de Phlionte, pourtant beaucoup moins tempérant que son maître, faisait également preuve d’un grand sens de l’indifférence : « Quand il était dérangé par le vacarme des servantes et des chiens, il ne faisait rien, n’ayant d’autre souci que de vivre tranquillement11 ». Il était poète et satiriste, on lui doit des textes mordants où il se moque des philosophes de toutes les écoles ; pourtant, ses écrits ne le préoccupaient pas trop : « Ses poèmes gisaient au hasard, parfois à moitié mangés par les vers : au point que voulant lire quelque chose à Zopyre le rhéteur, il se mit à dérouler le volume, le parcourant à la suite ; ce n’est que parvenu à la moitié qu’il tomba sur le morceau qu’il n’avait pas retrouvés jusqu’alors. Telle était son indifférence12 ». 


        Après de longs siècles, des intempéries, des incendies, des pillages, on a perdu un grand nombre d’œuvres de l’Antiquité. Timon, déjà de son vivant, a peut-être perdu nombre de ses œuvres ! Mais cela le laissait indifférent. Timon n’avait rien d’un ascète ; au contraire, il aimait boire et bien vivre, pourtant il supportait sans peine de se priver de nourriture : « Mais il était également facile à vivre au point d’accepter de se passer de déjeuner13 ».


     L’indifférence guide donc la vie de Pyrrhon. Il se contentait de suivre les conventions sociales, les us et les coutumes sans pourtant y croire. « Seul, Pyrrhon n’attend rien, n’espère rien, ne croit à rien ; pourtant il vit comme ceux qui croient et espèrent14 ». Comme les sceptiques n’avaient aucune certitude sur le bien ou sur le mal, pas plus que sur autre chose, ceux-ci recommandaient de suivre les usages, les normes sociales et cultures de la société dans laquelle on vit. 


           Ce n’est pas un critère absolu ; mais à défaut d’autre chose, cela donne une idée de ce qui doit être fait. Là encore, on constate un dissentiment entre le Pyrrhon-de-Conche et Sextus Empiricus. Si l’on adhère au phénoménisme sceptique de Sextus, la société apparaît comme un phénomène bien réel auquel il faut se plier. Puisque aucune conception d’une voie droite ne peut être établie, il faut suivre le « droit chemin » que prône la société : il faut se conformer en tout point aux mœurs de l’époque. Chez Sextus, on assiste à une sorte de conformisme assez triste. 


         Par contre : « Pyrrhon disait, en effet, que rien n’est beau ni laid, juste ni injuste ; et, pareillement, au sujet de toutes choses, que rien n’est en vérité, mais que c’est par coutume et par habitude que les hommes font tout ce qu’ils font ; en effet, selon lui, chaque chose n’est pas davantage ceci que cela15 » Pour Pyrrhon qui vit dans les apparences, les hommes agissent par coutume et par habitude. Et ces coutumes et ces habitudes sont des apparences, on peut les suivre par curiosité : voir où elles mènent. Si elles mènent quelque part, tant mieux ! Si elles ne mènent nulle part, tant mieux ! Et le fait que ces coutumes et ces mœurs soient des apparences les délestent d’un poids social trop grand ; on peut jouer avec ces apparences. On peut agir sur elles comme elles agissent sur nous. On voit ainsi Pyrrhon partir sur un coup de tête au gré des chemins sans soucier le moins du monde d’une destination ou d’une affaire à régler. Il flâne ici où là sur les chemins de la Grèce au hasard des rencontres16. En fait, Pyrrhon fait preuve de beaucoup de douceur pour accepter les gens tels qu’ils sont et vivre avec leurs croyances, leurs rites et leurs mœurs. Mais en même temps, il fait aussi preuve de beaucoup de douceur pour se monter indifférent à un conformisme figé qui n’apporte que de la morosité et de la crispation dans la société.


           On pourrait se poser la question : s’il ne s’agit de ne plus se poser de questions et de faire ce que tout le monde fait sans s’interroger, est-ce que cela valait la peine de faire de la philosophie ? Après tout, Aristote a produit une œuvre colossale par son intelligence et sa perspicacité, une œuvre qui a marqué pendant deux millénaires autant la pensée arabe que la pensée européenne, sans même parler de son impact durant toute l’Antiquité. Diogène le Chien envoyait en l’air toutes les conventions sociales, ne reculait devant aucune provocation aux citoyens d’Athènes, n’épargnant personne et ne reculant devant rien. 


       Pendant ce temps, Pyrrhon lavait les petits cochons ! Est-ce que cela valait la peine de s’adonner à cette grandiose activité qu’est la philosophie pour en arriver finalement à laver des petits cochons ? Oui, aurait répondu Pyrrhon, parce que je les ai lavés avec indifférence, avec ironie et avec sagesse si tant est que ce mot ait un sens. Quelle bonne raison a-t-on de philosopher ? Aucune ! Mais Pyrrhon s’est un jour mis à philosopher. Quelle bonne raison a-t-on de partir jusqu’au bout du monde avec un jeune roi impétueux ? Aucune ! Mais Pyrrhon est parti en Inde avec Alexandre et Anaxarque. Quelle bonne raison a-t-on de pratiquer la vertu et de rechercher la sagesse ? Aucune ! Mais Pyrrhon s’est adonné à la vertu comme il s’est mis en quête de la sagesse. Selon Pyrrhon, le fond de l’action est l’arbitraire pur. Il n’y a pas de raison pour faire ceci plutôt que cela (ou mallon appliqué à l’action). « Le pyrrhonisme est la « négation de la morale », car une conduite humaine n’est jamais susceptible d’être rendue inégale à une autre par un quelconque processus de justification, de validation, etc.18 » Si l’action relève de la sphère de l’apparence, il n’y a plus lieu de chercher des motifs pour ses actions. L’action se fait, c’est tout.


       L’attitude habituelle veut qu’on ait besoin de bonnes raisons pour délibérer et agir. Ainsi Aristote se gausse-t-il de celui qui abolirait les préférences éthiques en prétendant que tout est égal : « Pourquoi notre philosophe fait-il route vers Mégare, et ne reste-t-il pas chez lui en se contentant de penser qu’il y va ? Pourquoi si, au point du jour, il rencontre un puits ou un précipice, n’y marche-t-il pas, mais pourquoi le voyons-nous, au contraire, se tenir sur ses gardes, comme s’il pensait qu’il n’est pas également bon et mauvais d’y tomber ? Il est bien clair qu’il estime que tel parti est meilleur, et tel autre, pire. (…) Il ne recherche pas et ne juge pas tout sur un pied d’égalité, quand, pensant qu’il est préférable de boire de l’eau ou de voir un homme, il se met ensuite en quête de ces objets19 ». 


         Il serait tentant de mettre cette réflexion d’Aristote avec le témoignage de Diogène Laërce qui nous dit que Pyrrhon « n’évitait rien, ne prenait garde à rien, supportait tout, chariots, précipices, chiens, ne se fiant en rien à ses sens20 », comme si Pyrrhon avait voulu répondre à Aristote par des actes plutôt que par des discours. Selon Aristote, on agit parce qu’on estime tel ou tel choix comme étant le meilleur. Mais pour Pyrrhon, tous les choix sont indifférents et indécidables ; pourtant, l’homme agit sans qu’il puisse entièrement rendre raison de ce qu’il fait. L’action a lieu avant même que l’estimation soit achevée. « S’il devait, pour boire, montrer qu’il est « préférable » de boire, il ne boirait jamais. La conduite humaine n’est pas intégralement rationalisable21 ». Il n’y a pas à fonder l’action pour l’action ait lieu. L’action se produit en tant qu’apparence influant sur d’autres apparences. 


        Quiconque pratique le yoga ou la méditation sait que la difficulté n’est pas de trouver l’action à accomplir, parce qu’assis immobile en méditation, on est constamment traversé par la tentation d’agir : se mouvoir, se lever, se dégourdir les jambes, faire autre chose…. La difficulté est de ne pas agir, de rester conscient de cette non-action et rester droit dans la posture de méditation. Selon Marcel Conche, l’indifférence pyrrhonienne « libère en l’homme la spontanéité agissante, la capacité d’action pure22 ». 


     Ce serait plutôt la recherche philosophique d’un fondement à l’action ou d’une justification qui conduirait à l’inertie et à l’inaction. Pyrrhon lavait les petits cochons. Ce n’est pas grand-chose, dira-t-on. Cela n’a révolutionné ni la pensée, ni la société. Mais qu’on réfléchisse à quel point cette in-différence, cette non-différence est subversive dans sa douceur même. En lavant les petits cochons, Pyrrhon abolit les différences entre classe sociale, entre le riche et le serviteur, entre l’homme libre et l’esclave. Cet acte n’est pas davantage digne qu’indigne. Ou mallon.
















1 Victor Brochard, « Les sceptiques grecs », op. cit., livre I, chap. II, p. 74. Par ailleurs, Cicéron présente Pyrrhon comme un dogmatique emprunt de morale, d’honnêteté et de vertu. Numenius disait aussi de Pyrrhon qu’il était un dogmatique (DL, op. cit., IX, 68). Même en cela, il faut être prêt à suspendre son jugement ! Le fondateur du scepticisme a-t-il été un dogmatique ?
2 D.L., ibid., VII, 37.
3 D.L., ibid., IX, 107.
4 Victor Brochard, « Les sceptiques grecs », op. cit., livre I, chap. III, pp. 87-88.
5 D. L., ibid., IX, 66.
6 Pierre HADOT, « Qu’est-ce que la philosophie antique ? », Gallimard, Paris, 1995, chap. VII, p. 175.
7 D.L., op. cit., IX, 67.
8 D.L., op. cit. IX, 63.
9 D.L., ibid., IX, 68.
10 D.L., ibid., IX, 79-80. Jean-Paul Dumont, « Les sceptiques grecs », Puf, Paris, 1966, pp. 51-60.
11 D.L., ibid., IX, 113.
12 D.L., ibid., IX, 113-114.
13 D.L., idem.
14 Victor Brochard, op. cit., livre I, chap. III, p. 86.
15 Diogène Laërce, op. cit.., IX, 61.
16 D.L., ibid., IX, 63.
18 Marcel Conche, op. cit., chap. VII, p. 93.
19 Aristote, « Métaphysique », Γ, 4, 1008 b 14-25, cité dans Marcel Conche, op. cit., chap. VI, p. 76.
20 D.L., op. cit., IX, 62.
21 Marcel Conche, op. cit., chap. VIII, p. 94.
22 Marcel Conche, ibid., chap. X.2, p. 142.














Hengki Koentjoro












Concernant Pyrrhon, voir également : 









Voir également : 


Équanimité 


- Certains me sont chers


Jouir d'une vie simple



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