Le
Mangala
Sutta
ou Soûtra
des Bénédictions
est un enseignement bien connu du Bouddha. Il frappe autant par sa
simplicité que par sa puissance. Le contexte dans lequel a eu lieu
cet enseignement touche au merveilleux : un dieu d'une radieuse
beauté vient trouver le Bouddha à minuit quand tout le monde dort
pour lui poser une question relative à ce qui cause le bonheur. À
l'époque, le fait que les dieux puissent demander conseil au Bouddha
ne devait étonner personne, qu'on soit bouddhiste ou non.
L'existence des dieux passait pour évidente dans l'Antiquité, et la
plupart des gens ressentaient leur présence. C'est vrai pour l'Inde
ancienne, mais la même mentalité prévalait dans la Grèce antique.
Épicure que l'on range dans la catégorie des philosophes
matérialistes disait dans la Lettre
à Ménécée :
« Les
dieux existent : la connaissance que nous en avons est
évidente ».
Aujourd'hui, cette sentence résonne de manière étrange : s'il y a bien quelque chose qui n'est pas évident, c'est bien
l'existence des dieux ou de Dieu. Mais à l'époque où la science
était beaucoup plus rudimentaire qu'aujourd'hui, les dieux
expliquaient les phénomènes physiques, la météorologie, les
victoires ou les défaites, la réussite ou les échecs dans les
affaires commerciales, etc...
La
question est dès lors de savoir comment interpréter le fait qu'un
dieu d'une radieuse beauté veuille rencontrer le Bouddha quand on
fait preuve d'un minimum de rationalisme. J'imagine que les gens un
peu New Age penseront que c'est véritablement un dieu qui est
venu parler au Bouddha et le questionner sur les bénédictions. Mais
pour un esprit rationaliste, cela semble difficile à croire. Une
première explication serait d'invoquer une volonté dans les milieux
bouddhistes une supériorité du Bouddha sur les dieux traditionnels
de l'Inde, une supériorité donc du bouddhisme sur le brahmanisme de
l'époque (brahmanisme qui, en évoluant, est devenu l'hindouisme
moderne). Cet épisode serait donc une mise en scène dans
l'intention de favoriser les conversions au bouddhisme.
Cette
première explication ne me satisfait pas entièrement, car
l'identité du dieu n'est pas précisée. On ne dit pas explicitement
que c'est un dieu appartenant au panthéon brahmanique de l'époque,
Brahma, Indra, Varuna, Agni, etc... Personnellement, j'y verrai plus
une manifestation de l'inconscient, comme une idée brillante qui
surgit en nous et qui semble venue de nulle part, qui semble
extérieure à nous. Aujourd'hui, l'image devenue traditionnelle de
cela est une ampoule qui s'allume au-dessus de notre tête. Nous
vivons à l'ère de l'électricité et de la technologie
triomphante : il est donc normal que nos représentations soient
influencées par notre contexte culturel particulier. La sensibilité
culturelle de l'époque devait se représenter ces manifestations de
l'inconscient comme des dieux radieux, brillants qui dialoguent avec
nous. Dans ce contexte, il n'est pas étonnant qu'un dialogue entre
le Bouddha et une divinité nous soit rapporté à travers les
soûtras.
Il
est d'ailleurs frappant de constater quand le Bouddha parle avec un
dieu, on y parle toujours de choses qui peuvent très bien se
rapporter à l'existence des hommes. Les conseils que donne le
Bouddha au dieux touchent à la morale et à l'éthique :
comment se comporter de la manière la plus judicieuse ? Que
faut-il privilégier dans l'existence ? Il n'est pas question de
savoir comment il faut vénérer les dieux, quelles sont les
pratiques qui nous permette de connaître l'avenir ou quelle magie il
faut accomplir pour s'accorder la grâce des dieux... Il n'est pas du
tout question de cela. Le Bouddha disait qu'il fallait respecter les
dieux, mais on n'était pas obligé de les vénérer. Il faut voir là
un idéal de tolérance envers les autres croyances de l'Inde
ancienne. Pour le Bouddha, les dieux jouissent d'une existence
supérieure aux humains du fait de leur bon karma, mais ils ne sont
pas dans l'absolu et leur existence est impermanente. C'est pourquoi
on ne peut pas se baser sur eux pour transcender le cycle des
existence.
*****
Venons-en
maintenant à l'enseignement proprement dit. Voilà la requête de la
divinité au Bouddha : « Nombreux
sont les dieux et les hommes qui discutent sur les bénédictions qui
donnent le bonheur. Pour ceux qui cherchent à connaître les
véritables choses bienfaisantes, je vous en prie, veuillez expliquer
les bénédictions ». D'ordinaire, on considère
qu'avoir beaucoup d'argent, un bon poste, une belle carrière, être
heureux en famille et être en bonne santé sont les plus grandes
bénédictions pour notre vie. D'ailleurs quand on prie un dieu,
c'est pour obtenir l'une de ces choses ou toutes ces choses. On
espère que le dieu intercède en notre faveur par le pouvoir de sa
grâce.
Et
le Bienheureux répond ceci à cette demande :
« Ne
pas être associé aux fous,
mais s'associer aux
sages,
rendre
hommage à ceux qui méritent d'être honorés.
Cela
est une grande bénédiction.
Vivre
dans un endroit qui procure de nombreux avantages,
avoir
le bénéfice de mérites accomplis antérieurement,
développer
convenablement son caractère.
Cela
est une grande bénédiction.
Être
instruit en science et en art,
être
discipliné et cultivé,
dire
des paroles justes.
Cela
est une grande bénédiction.
Prendre
soin de ses parents,
bien
traiter sa femme et ses enfants,
accomplir
des actions justes.
Cela
est une grande bénédiction.
Être
généreux, se conduire selon le Dharma,
avoir
soin de sa famille,
accomplir
de bonnes actions.
Cela
est une grande bénédiction.
S'abstenir
du mal,
renoncer
aux intoxicants,
être
vigilant en ce qui concerne le Dharma.
Cela
est une grande bénédiction.
Se
conduire avec dignité et douceur,
être
content et reconnaissant,
entendre
le Dharma au juste moment.
Cela
est une grande bénédiction.
Être
patient, être courtois,
rechercher
la compagnie des sages,
parler
du Dharma au juste moment.
Cela
est une grande bénédiction.
Être
restreint, mener la vie pure,
avoir
la vision intérieure profonde des Nobles Vérités,
avoir
la compréhension absolue du Nirvâna.
Cela
est une grande bénédiction.
Étant
touché par les conditions du monde,
demeurer
avec un esprit inébranlable,
être
libre de chagrin, d'attachement et de peur.
Cela
est une grande bénédiction.
Ceux
qui suivent ces principes,
ceux-là
ne seront jamais vaincus,
mais
ils iront toujours vers le bonheur
et
pour eux cela sera une grande bénédiction. »
Steve McCurry, Tibet. |
Examinons
cela dans le détail. La première strophe porte sur nos
fréquentations. C'est quelque chose d'important. Les autres
déteignent sur nous. C'est pourquoi il est important d'être
vigilant à qui nous fréquentons. « Ne
pas être associé aux fous, mais s'associer aux sages, rendre
hommage à ceux qui méritent d'être honorés. Cela est une grande
bénédiction ». Si vous passez du temps avec des
gens colériques, pleins de haine et de ressentiment, ces émotions
négatives vont finir par vous gagner. Pareillement, si vous
fréquentez des personnes dépressives qui se complaisent dans leur
dépression et qui interprètent le monde systématiquement en noir,
qui dénigrent tout en permanence, vous aussi, vous allez déprimer.
C'est pourquoi il faut d'abord la fréquentation des personnes
positives, pleines de vie, qui essayent d'améliorer les choses. Il
faut chercher en priorité les personnes emplies de sagesse et qui
font des efforts pour se transformer intérieurement. C'est de ces
personnes que vous apprendrez le plus et qui vous inspireront le plus
pour cheminer dans le Dharma. Ce n'est pas toujours possible. On n'a
malheureusement pas toujours des personnes sages autour de soi. Dans
ce cas-là, il vaut mieux opter pour la solitude que se mettre à
fréquenter qui essayeront de vous influencer négativement en vous
disant que les meilleures choses à rechercher dans l'existence sont
l'argent, la réussite, l'alcool, l'apparence ou un cocktail de tout
cela...
Il
faut aussi prendre pour modèle des personnes qui se sont distinguées
par leur sagesse et leur bienveillance, et pas des gens qui se
distinguent par leur agressivité, leur avidité ou leur
superficialité comme des joueurs de football, des chanteurs de rap
ou des stars de la télé-réalité. Si vous êtes bien entourés et
que vous vous tournez vers des personnes de valeur, autant sur le
plan de la conduite éthique et de la sagesse, votre vie sera
d'autant mieux orientée pour se diriger vers le bonheur.
L'environnement
est aussi important pour trouver le bonheur, nous dit le Bouddha :
« Vivre dans un endroit
qui procure de nombreux avantages, avoir le bénéfice de mérites
accomplis antérieurement, développer convenablement son caractère.
Cela est une grande bénédiction ». Le lieu où
l'on vit est évidemment important : il est idéal de vivre dans
un endroit qui favorise la tranquillité et la vie contemplative.
S'il y a un boucan de tous les diables dans la rue ou chez le voisin
du dessus, ce n'est pas le pied pour gagner en sérénité... De
façon encore plus tragique, la guerre ravage votre pays et que les
chars pilonnent votre habitation, vous n'êtes non plus dans un
endroit idéal pour votre épanouissement. Des amis bouddhistes m'ont
dit un jour que vivre en ville ne permettait pas de pratiquer la
méditation et qu'il valait mieux vivre à la campagne pour avoir
toute la tranquillité nécessaire. Je ne suis pas nécessairement
d'accord : tout le monde ne peut pas vivre à la campagne, et
pour la méditation, on n'a pas besoin d'un silence total. Si vous
entendez le bruit des voitures ou des bus dans la rue, ce n'est pas
un obstacle en soi au fait de cultiver l'attention au va-et-vient de
la respiration, à votre corps, à vos sensations, à l'esprit et aux
objets de l'esprit. Il est peut-être plus agréable de pratiquer de
méditer au son du chant des petits oiseaux, mais il faut faire avec
ce que l'on a !
Le
bonheur dépend aussi de nos actes passés ; et c'est évidemment
une grande bénédiction de bénéficier d'un bon karma. Que l'on
jouisse ou pas de ce bon karma, cela doit nous rappeler à quel point
il est important de bien se comporter envers soi-même et autrui, car
cela construit inexorablement notre futur. Nos actes passés selon la
théorie du karma ont construit notre condition présente ; et
il faut chercher dans le présent à évoluer de la manière la plus
positive pour construire un meilleur futur.
La
culture est importante pour trouver le bonheur et l'harmonie dans sa
vie. « Être instruit en
science et en art, être discipliné et cultivé, dire des paroles
justes. Cela est une grande bénédiction ». En étant
curieux du monde, des arts et des sciences, on éveille son esprit au
monde, on fait preuve d'ouverture et cela augmente notre
compréhension et notre tolérance. Il est aussi particulièrement
avantageux de développer ses connaissances sur le Dharma, étendre
sa compréhension de la philosophie du Bouddha. Cela permettra
d'améliorer notre conduite éthique et d'enrichir notre
conversation. La connaissance intellectuelle peut ainsi rejaillir
dans les activités du corps et de la parole.
Des
relations harmonieuses au sein de la famille sont évidemment aussi
une grande bénédiction. « Prendre
soin de ses parents, bien traiter sa femme et ses enfants, accomplir
des actions justes. Cela est une grande bénédiction ».
La famille est un élément essentiel dans la construction de soi, et
il faut veiller à être le plus droit possible dans la relation avec
ses proches et éviter que les relations familiales s'enveniment
comme cela arrive malheureusement souvent. Il n'est pas toujours
possible que la famille soit un cadre harmonieux, rayonnant de
bonheur. Les discordes et les disputes prennent souvent le pas sur
les rires et la fraternité. Mais il faut néanmoins veiller à
toujours tenter de se réconcilier avec les membres de sa famille et
de chercher le meilleur pour eux.
La strophe suivante invite à la générosité et à l'implication
envers les autres : « Être
généreux, se conduire selon le Dharma, avoir soin de sa famille,
accomplir de bonnes actions. Cela est une grande bénédiction ».
Souvent, on présente le bonheur comme le fait de gagner ou de
recevoir des choses plaisantes comme de l'argent, une situation
privilégiée, des produits de luxe, etc... Mais cette conception
fait l'impasse sur le réel bonheur qu'il y a à donner, à se
montrer généreux, à partager nos biens avec les autres. Là où la
société de consommation favorise et encourage l'égoïsme, il
faudrait pouvoir connaître cette grande bénédiction qu'est
l'altruisme. Se dévouer aux autres est un moyen beaucoup plus
efficace pour trouver la joie de vivre que l'avarice et l'avidité.
Nous
sommes la partie d'un tout. Donner aux autres revient à faire du
bien au tout, et donc à soi-même. Je me souviens un enseignement de
Thich Nhat Hanh où celui-ci nous comparait à la main droite. Il est
naturel à la main droite d'aider la main gauche si celle-ci vient à
être blessée. La main droite ne se pose pas la question s'il est
avantageux pour elle de venir en aide à la main gauche ou si c'est
dans son intérêt. On devrait agir envers les autres de la même
manière. Cela nous grandit spirituellement, cela renforce la
communauté, mais cela rend la vie beaucoup plus agréable que de se
replier sur sa petite personne et ses petits intérêts.
Autre
conseil pour améliorer sa qualité de vie : « S'abstenir
du mal, renoncer aux intoxicants, être vigilant en ce qui concerne
le Dharma. Cela est une grande bénédiction ». Il
faut bien sûr s'abstenir de tout ce qui est nuisible pour soi-même
et autrui, s'abstenir le plus possible de l'alcool et de toutes les
drogues qui réduisent et altère notre attention et notre
conscience. Il y a beaucoup de choses que l'on risque de regretter
amèrement quand on est sous l'emprise de ces intoxicants, sans
compter toutes les effets délétères comme la gueule-de-bois, les
crises de manque ainsi que les crises d'angoisse, etc... En outre,
rien ne vaut de pouvoir garder sa vigilance intacte pour progresser
dans le Dharma.
Dans
le Dhammapada, le Bouddha explique :
« La
négligence est le sentier de la mort,
Et
la vigilance le sentier vers l'extinction de la mort.
Celui
qui est vigilant ne meure pas,
Celui
qui est négligent est déjà mort » (II,21).
Dans
le Soûtra des Quatre Établissements de l'Attention, il met
en avant l'attention comme une voie unique et merveilleuse vers
l’Éveil :
« Ô
moines, il existe une voie merveilleuse, unique
Qui
aide les êtres à réaliser la purification,
À
transcender le chagrin et la peine,
À
détruire la douleur et l’anxiété,
À
parcourir le juste chemin,
À
atteindre le Nirvâna.
Cette
voie,
ce
sont les quatre établissements de l’attention1 ».
David Lazar, Jeune moine admirant le coucher de soleil, Nyaungshwe, Birmanie (Myanmar) |
Les
deux strophes suivantes mettent en valeur le fait d'entendre le
Dharma et celui de la propager pour le bien des êtres : « Se
conduire avec dignité et douceur, être content et reconnaissant,
entendre le Dharma au juste moment. Cela est une grande bénédiction.
Être patient, être courtois, rechercher la compagnie des sages,
parler du Dharma au juste moment. Cela est une grande bénédiction ».
Pour entendre le Dharma, il faut pouvoir faire preuve de douceur et
de droiture ; il faut aussi se satisfaire de ce que l'on a. Si
on a l'esprit toujours occupé par tout ce qu'on ambitionne d'avoir,
on n'aura pas le temps de focaliser sur le Dharma. Pour enseigner le
Dharma, il faut être patient, car nos étudiants n'auront pas
toujours toutes les qualités requises pour progresser rapidement
dans la Voie. Parfois même, il faut être très patient... Il faut
aussi être capable de courtoisie quand on est sous le feu des
critiques et des diatribes qui peuvent surgir dans certains débats
houleux. De manière générale, il faut rechercher la compagnie des
sages parce que parler du Dharma aux sots et aux personnes
récalcitrantes qui se complaisent dans leur situation douloureuse
est souvent une grande perte de temps.
Ensuite,
le Bouddha envisage la bénédiction de mener une vie contemplative :
« Être restreint, mener la vie pure, avoir la vision
intérieure profonde des Nobles Vérités, avoir la compréhension
absolue du Nirvâna. Cela est une grande bénédiction ».
S'adonner à une vie de simplicité et de méditation, voilà une
grande chance de connaître la béatitude. C'est une opportunité
incroyablement précieuse. « Mener la vie pure » traduit
ici l'expression sanskrite « brahmacharya »,
littéralement la conduite de Brahma, une vie faite de renoncement où
l'on développe les quatre qualités incommensurables que sont
l'amour bienveillant, la compassion, la joie et l'équanimité.
Méditer sur ces quatre qualités incommensurables transfigure
complètement l'existence. De même, c'est la plus grande des
bénédictions que d'avoir une compréhension intime des Quatre
Nobles Vérités que sont la Vérité de la souffrance, la Vérité
de l'Origine de la souffrance, la Vérité de la Cessation de la
souffrance et la Vérité du Chemin qui mène à la Cessation de la
souffrance. Franchir tout ce chemin du Dharma qui mène à la
cessation de la souffrance et entrer dans le Nirvâna, c'est là la
bénédiction des bénédictions, ce qui peut arriver de mieux à
n'importe qui.
Ce
faisant, on devient un être d’Éveil qui apporte sa lumière au
monde : « Étant touché par les conditions du monde,
demeurer avec un esprit inébranlable, être libre de chagrin,
d'attachement et de peur. Cela est une grande bénédiction ».
On vit dans un monde secoué par les troubles et la souffrance. On
n'est pas indifférent face à cette noirceur ; pourtant qui a
franchi toutes les étapes de la méditation, demeure inébranlable.
Seule la compassion l'habite sans aucun reste d'attachement ou de
peur. Et cela est une grande bénédiction tant pour soi-même que
pour l'ensemble des êtres qui vivent dans ce monde.
Voilà
vers quoi on devrait orienter son existence, nous dit le Bouddha :
« Ceux qui
suivent ces principes, ceux-là ne seront jamais vaincus, mais ils
iront toujours vers le bonheur, et pour eux cela sera une grande
bénédiction ».
Lire ici le Mangala Sutta
1Satipatthana
Sutta, Majjhima Nikâya, 10. Les quatre établissements de
l'attention sont l'attention au corps, l'attention aux sensations,
l'attention à l'esprit et l'attention aux objets de l'esprit.
Enseignements du Bouddha :
- Méditation des 4 Incommensurables : amour, compassion, joie et équanimité
- Méditer longuement l'impermanence
- Méditer longuement l'impermanence
Majjhima Nikâya:
- l'attention, voie unique et merveilleuse
- la parabole de la flèche
Samyutta Nikâya
- Enchevêtrement à l'intérieur, enchevêtrement à l'extérieur
- Une voie ancienne
Dhammapada : - L'apaisement de la haine (I, 5),et ici aussi.
- l'oubli de la mort (I, 6)
- Celui qui se conquiert lui-même (VIII, 103)
- L'autre rive de l'existence (XXIV, 348)
- La vision juste de tous les phénomènes (XX, 277-279)
- Illuminer le monde comme la lune (XXV, 382)
- l'attention, voie unique et merveilleuse
- la parabole de la flèche
Samyutta Nikâya
- Enchevêtrement à l'intérieur, enchevêtrement à l'extérieur
- Une voie ancienne
Dhammapada : - L'apaisement de la haine (I, 5),et ici aussi.
- l'oubli de la mort (I, 6)
- Celui qui se conquiert lui-même (VIII, 103)
- L'autre rive de l'existence (XXIV, 348)
- La vision juste de tous les phénomènes (XX, 277-279)
- Illuminer le monde comme la lune (XXV, 382)
Soutra du Cœur : - la forme est vide
Soutras : - Soutra de Jivâka sur la consommation de la viande (Jivâka Sutta)
- Soutra de Kaccânayagotta (Kaccânayagotta Sutta)
- Soutra des Bénédictions (Mangala Sutta)
- Soutra de Jîvaka sur les disciples laïcs (Jîvaka Sutta)
- Soutra de Samiddhi (soutra traduit du canon chinois)
- Soutra de Bâhiya (Bâhiya Sutta)
- Soutra de l’Écume (Phena Sutta)
- Soutra du Fardeau (Bhāra sutta)
- Soutra du de l'Attention au Va-et-vient de la Respiration (Ānāpānasati Sutta)
- Soutra de Jîvaka sur les disciples laïcs (Jîvaka Sutta)
- Soutra de Samiddhi (soutra traduit du canon chinois)
- Soutra de Bâhiya (Bâhiya Sutta)
- Soutra de l’Écume (Phena Sutta)
- Soutra du Fardeau (Bhāra sutta)
- Soutra du de l'Attention au Va-et-vient de la Respiration (Ānāpānasati Sutta)
Voir tous les articles et les essais du "Reflet de la lune" autour de la philosophie bouddhique ici.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire